« Je vis à Bienne depuis 1956, avec une interruption entre 1969 et 1987. J’aime son bilinguisme, un solide rempart contre toute forme d’arrogance. Je suis fière de sa population qui reconnaît, dans les urnes, les besoins de toutes et de tous : francophones et germanophones, écoles, institutions de formation, associations culturelles et sociales. Parce que Bienne offre un potentiel inégalé de possibilités pour la création d’institutions, de voies de formation ou d’entreprises de toutes sortes, je vote positif ! »